RAYURE / Week 17.
Les rayures. Chercher le zèbre, mais difficile d'en trouver un dans les herbes folles de la périphérie urbaine. Dommage. Chercher le motif, rapidement à l'esprit vient la marinière. La mer, l'océan, l'eau et moi avons une relation compliquée, et finalement les rayures aussi, alors ce vêtement n'a jamais fait parti de ma garde-robe. Approfondir les recherches, découvrir que les rayures sont encore plus absentes de mon intérieur que la couleur bleue. Finalement, chercher la texture, l'effet photographique, et découvrir ses jolis fils dorés qui me correspondent très bien sur cette chemise chinée. Voyager dans la matière, se balader et sautiller d'une rayure à l'autre.
Pour retrouver le chouette projet et les jolies images, direction chez Lauriane, puis sur Instagram avec #52photoproject2016.
Le 52photoproject est un challenge. Un défi. Chaque semaine illustrer un mot. Secouer son esprit, chercher à se renouveler, et toujours se rapprocher d'une chose importante : son propre regard.
Son propre regard sur le monde. Cela paraît si simple à dire, à écrire, mais chaque thème n'amène pas toujours la même réflexion, parfois rapide, parfois plus longue et compliquée. A chaque fois, elle fait ressurgir des souvenirs et la route peut être à la fois plus facile et plus tortueuse jusqu'à l'image.
La photographie est une obsession depuis de longues années. La semaine ayant été mouvementé, partie en quête d'un paysage qui n'a pas voulu se dévoiler. Les rares moments où l'instant m'était donné, le ciel libérait sa colère ou sa tristesse, sa joie ou sa sérénité. Il y a eu cet orage dans la nuit. Et l'éclair lumineux à travers les nuages. Plus que de la photo, c'était cinématographique. Il y a eu ce déluge qui frappait le sol. Et puis ce grand soleil intense de midi.
Son propre regard sur le monde. Cela paraît si simple à dire, à écrire, mais chaque thème n'amène pas toujours la même réflexion, parfois rapide, parfois plus longue et compliquée. A chaque fois, elle fait ressurgir des souvenirs et la route peut être à la fois plus facile et plus tortueuse jusqu'à l'image.
La photographie est une obsession depuis de longues années. La semaine ayant été mouvementé, partie en quête d'un paysage qui n'a pas voulu se dévoiler. Les rares moments où l'instant m'était donné, le ciel libérait sa colère ou sa tristesse, sa joie ou sa sérénité. Il y a eu cet orage dans la nuit. Et l'éclair lumineux à travers les nuages. Plus que de la photo, c'était cinématographique. Il y a eu ce déluge qui frappait le sol. Et puis ce grand soleil intense de midi.
Et la semaine passe, et nous ne sommes plus lundi pour publier ce paysage de la semaine. Et là aussi, les souvenirs ressurgissent. Le souvenir d'une photographie, d'une photographie qui parle de ce décor de campagne près de la maison d'enfance : ce paysage. C'est l'histoire de faire un saut dans le futur et le passé en même temps. Projeter le printemps, les cerisiers en fleur, les arbres de la rivière qui reprennent leurs feuilles et le soleil qui brille plus fort. Et puis ce morceau de passé, d'une photographie argentique réalisée il y a maintenant plus de 6 ans. La pellicule était mal exposée et c'est dans ces moments-là que l'on comprend que ce n'est pas un hasard, que l'émotion est bien plus importante dans ce paysage là, le voile qui couvre un peu l'image une fois numérisée, et cette sensation de transformer une photographie en peinture. En battements de cœur.
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Le ciel était en feu ce matin. Ce rose orange qui jaillit. Ces deux couleurs qui s'entremêlent, s'enlacent, dansent et se répondent. La couleur explose. Le feu finit par s'apaiser, mais la pupille a tout retenu d'une fête éphémère mais fantastique. Une fête des yeux. Une fête pour le cœur et l'esprit, une fête pour le corps un matin d'avril.
Source : Pinterest
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La route est à perte de vue. Le ciel passe du bleu au gris sans prévenir. Et puis il y a le déluge. Et puis il y a la pluie très fine. Et le soleil revient. Passager. Ephémère. Nous donne un aperçu de ce que peut être le printemps. Voir des animaux, un écureuil dans le jardin à la campagne, des vaches sur le bord de l'autoroute, un lapin aux abords de la ville. Et les oiseaux le matin. C'est un tout. Un ensemble immense. Parfois tranchant, parfois doux. Les tiraillements du cœur, de la tête et de l'esprit. Le vent emporte. Et puis l'amour fou. Fou de tout. Fou de vivre. Sûrement.
Source : Pinterest
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WEEK 15 / Petit déjeuner.
Le petit déjeuner, comme le printemps est certainement mon moment préféré. Avec une préférence pour les journées tranquilles, où ce moment de calme, de commencement, peut se prolonger. De la douceur, des couleurs, des odeurs. Le petit déjeuner aux premières heures, ou bien un peu plus tardif, le petit déjeuner partagé. Croustillant et délicieux, chocolaté ou fruité. Avec des tas de pensées et de discussions passionnés.
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Lignes et couleurs. Le miroir qui ne renvoie pas de reflets. Statique. Puis l'errance. Puiser du nouveau. Renaître. Profiter des plaisirs simples. Un balcon, un repas le dimanche midi au soleil. Discuter de la vie. Et ressentir. Ressentir la puissance des journées, des mois, des années. De toutes celles à venir même si. La puissance de toutes les belles choses, cette envie, cet espoir. Indéfectibles.
Source : Pinterest & © Viviane Sassen
FLEUR / Week 14.
Il y a le jardin dans l'appartement. Les feuilles, les plantes. Et puis les fleurs. Les fleurs de l'hiver, et les fleurs du printemps. Les fleurs séchées de l'anniversaire. Les fleurs du balcon. Dans un pot, dans un vase. Les fleurs sauvages. Les fleurs dans l'herbe au bord de la route, celles qui poussent sur le trottoir. Les fleurs dans les arbres et celles des bouquets de talentueuses fleuristes. Et puis il y a les fleurs de l'amoureux.
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